Votre mission si vous l'acceptez... Une planète à sauver

Salut ! J'émerges de mon lit où je viens de passer quelques heures d'intense plaisir lové dans mes draps, enserrant dans mes doigts avec amour le précieux ouvrage dont je dévorais les écrits avec passion. Je découvre ainsi par un langoureux regard au travers de ma fenêtre un ciel d'azur parsemé de traînées poudreuses de nuages blancs. La température, douce, s'élève à 21°, et notre bon vieux soleil s'élève à cette heure, presque à la verticale au-dessus des toits de nos demeures. Je savoure donc comme tout les jours un délicieux confort que me permet une atmosphère hospitalière, un environnement chaleureux. Je vis car j'habite la Terre, seule planète du système solaire en mesure d'abriter la vie. Un climat tendre, des ressources abondantes, une atmosphère viable. Rien à voir avec Venus ou Mars (pauvres martiens)







Or, nous le savons tous, cet Éden est menacé. Les transformations qui sont en cours sur la planète sont sur le point de rompre des équilibres dont l'édification a commencé il y a des milliards d'années. Les cycles de l'eau, atmosphérique, biologique et géochimique sont perturbés. La température s'élève. Le niveau des océans monte. L'air devient vicié. Les forêts disparaissent. Les déserts avancent. Les terres deviennent stériles. Les espèces animales s'éteignent les unes après les autres.
C'est de la fin du monde dont je veux vous parler, ou plutôt, de la fin de ce monde, celui que vous avez toujours connu. Ici, sur ce formidable forum initié par La Marade, et dans cette section, où on parle de tout ou de rien, j'ambitionne d'éclairer les esprits qui n'auraient pas pris conscience de la nécessité de lutter contre le changement en progression.
Voici ce qui nous guette, ce que notre génération va subir : une ère de maladie, de pénuries, de catastrophes climatiques ; un niveau de vie inférieur à celui connu sous le Moyen-âge, tout simplement à cause de la diminution de la qualité des aliments, de l'eau, de l'atmosphère.
Elle serait capricieuse notre planète ? Bon en fait, ça fait juste 150 ans qu'on la titille un p'tit peu. Et aujourd'hui, l'activité des hommes sur la planète bleu se dessine comme une force d'une terrible pression sur l'écosystème, qui transforme son mode de fonctionnement. Chaque année sont déversés des milliards de tonnes de gaz, de produits toxiques, de particules radioactives dans l'atmosphère, les cours d'eau, les océans, les sols, les sous-sols. Sont dévastés 150 000 km² de forêts et sont
détruits 40 000 exemplaires de notre bibliothèque biologique, "la faune et la flore". Votre santé est menacée. ( A propos: êtes vous allergique ? Éprouvez vous des difficultés respiratoires ? N'importe quel trouble peut trouver son origine dans l'action de l'homme sur votre environnement) Ce sont quelques exemple des plaies à vifs ouvertes et creusées tout les jours par les hommes sur leur planète, conséquences de leurs modernité d'esprit, qui repose sur un accroissement que l'on voudrait perpétuel de la production. C'est à dire que pour s'offrir toujours plus de biens et services, il va engager une exploitation de la nature toujours plus intense ; Enivré par la course pour le bien-être matériel, il va ponctionner les ressources de son milieu avec la voracité du plus vil des vampires, laissant ses industries ravager la beauté du monde, saccageant ses richesses, empoisonnant l'environnement, acceptant que son agriculture stérilise la surface du monde... Vous avez l'amer impression de lire un portrait imprégné d'un anti-capitalisme irréfléchi ? Car vous pouvez accepter sereinement la situation du Système terrestre, et avec rationalité, qui plus est. La recette pour avoir bonne conscience peut s'obtenir très facilement ! Notre mode de production et de consommation nous donne accès à un confort de vie jamais égalé dans l'histoire de l'humanité, mettant à notre disposition une grande diversité de produits intervenant dans le domaine de la santé, de l'alimentation, de
l'habillement, des loisirs, du logement. Ce mode de vie est menacé par notre mode de production actuelle ? Qu'importe, la science finira par trouver une solution. Nous sommes en train de causer une extinction de masse parmi les espèces vivantes, d'anéantir des écosystèmes, de bouleverser des paysages millénaires : cela n'est pas une raison pour blâmer l'humanité. c'est une des grandes forces de la nature, après tout, et si elle entraîne la 6ème phase d'extinction massive des espèces de
l'histoire de la Terre, c'est dans l'ordre naturel des choses : l'homme est là, les espèces vivantes doivent faire avec, disparaître ou s'adapter. Notre puissance est supra-naturel, donc libre à nous de transformer les paysages, nous sommes la force qui guide et oriente la nature.
Stop.[color=blue]
Au nom de la poésie, au nom du lyrisme, au nom de la sensibilité humaine, au nom de l'art et la beauté que seul l'homme peut reconnaître à la nature, nous devons mettre fin à la longue séance de torture que nous faisons subir à la Terre. Sinon, le prix à payer sera la disparition des merveilles de la planète, qui sont autant de sources d'inspiration artistiques, de jouissance, de méditations...
Alors il faut agir vite. L'hospitalisation de la planète doit se faire de toute urgence. Il est est déjà sûr qu'elle portera les stigmates du temps où l'homme ne se souciait pas de son bien-être pour des milliers d'années encore. Il suffit de considérer nos espaces irradiés par nos essais nucléaire, le réchauffement climatique qui atteindrait
un "point de non-retour", ce qui signifie une perturbation du climat peut-être irréversible sur plusieurs siècles... Alarmez-vous ! Quand je porte un œil sur nous,quand je nous vois, dans nos activité d'adolescents de l'année 2006, je m'aperçois combien on apparaît inconscient de la menace qui nous entoure, tapi dans nos usines, dans nos magasins, dans nos maisons, dans nos voitures, dans nos lampadaires, dans nos canettes de sodas, dans nos vêtements, dans nos jouets, etc... et qui
semble se refléter dans le ciel changeant, et qui, lorsqu'elle déchaînera ses monstrueuses forces meurtrières, sonnera le prélude au bouleversement de nos modes de vie ! Il est temps de projeter l'humanité dans un nouvelle ère ! Une ère de respect ! de salubrité ! de préservation ! d'humilité face aux grandes forces physiques que l'esprit humain est incapable de dompter !
Peut-être qu'un jour où nous serions capable de maîtriser parfaitement les cycles de la vie, où nous saurions nous mettre au service de la vie, alors, nous serions en droit d'altérer notre milieu. Pour l'instant, nos agissements, dans leur majorité, détériorent la vie.

Comme des exemples, images et chiffres peuvent être d'avantage révélateurs et interpeller avec plus d'efficacité vos esprits, voici quelques marques qu'on a un peu partout relevé sur Terre.[/color]

A propos du climat :
La couverture de neige de la planète a diminué d'environ 10 % depuis la fin des années 1960. En 50 ans, la banquise marine de l'hémisphère Nord a reculé de 10 % à 15 %. les océans, depuis la fin des années 1950, recèlent plus de chaleur, ce qui entraîne un phénomène chimique d'expansion thermique de l'eau (agrandissement des molécules d'eau sous l'effet de la chaleur), à l'origine d'une élévation générale du niveau des mers de 20 cm.
Les vagues de chaleur et les température extrêmement élevées sont devenues plus fréquentes. Elles ont eu des conséquences particulièrement graves en Asie, en Afrique et dans certains États agricoles des USA, avec des effets dévastateurs sur l'agriculture et la survie des populations.
Les sécheresses ont été plus répandues des dernières décennies dans la partie subtropicale de l'hémisphère Nord.
Les incendies de forêts ont été plus nombreux, favorisés par les sécheresses.
Les maladies transmises par les moustiques dans les régions montagneuses d'Asie, d'Afrique de l'Est et d'Amérique latine se sont développées.
Des orages et des tempêtes plus violentes ont été favorisés par l'élévation des températures et une atmosphère plus chaude et plus humide.
Les ouragans, de 1995 à 2000, n'ont jamais atteint une telle ampleur dans l'Atlantique Nord. Dans les caraïbes, le nombre d'ouragans a quintuplé et ceux de très
grande ampleur ont plus que doublé.
El nino (phénomène climatique cyclique qui bouleverse les courants marins et les alizés, provoquant sécheresses et feux de forêts dans une partie du monde et pluies
torrentielles dans une autre) a été plus long et plus intense.
Les précipitations ont augmenté de 10 % sur la plupart des régions de haute lattitude des continents de l'hémisphère Nord au cours du 20ème siècle. Le réchauffement des températures a créé, à la surface des sols et des mers, davantage d'évaporation et donc une augmentation de l'humidité atmosphérique.
Des inondations sans précédent ont frappé tous les continents et fait des dizaines de milliers de victimes.
Les pertes humaines ont été colossales. Depuis 1975, le nombre des catastrophes hydrométéorologiques a augmenté de 160 %, tuant 440 000 personnes pendant les seules années 1990. En Chine, le gouvernement estime que 30 millions de personnes ont dû fuir leurs terres à cause du changement climatique.
Les pertes économiques dues aux catastrophes naturelles (à 80 % d'ordre météorologiques) ont été multipliées par neuf, passant de 53 milliards de dollars dans les années 1960 à 480 milliards dans les années 1990.
Les écosystèmes et la vie sauvage ont également pâti du réchauffement climatique. Les hausses de température et de taux d'humidité ont entraîné la migration d'insectes, traditionnellement cantonnés dans des zones chaudes ou tempérées, vers des zones plus froides, créant des ravages écologiques. Ainsi, de grandes étendues de forêts meurent dans le sud de la Sibérie et en Alaska à cause de ces invasions d'insectes.
Les récifs coralliens ont été gravement détruits par l'élévation de la température des océans, particulièrement dans l'océan Indien, l'Océan Pacifique, au Brésil et dans les Antilles. Entre 55 et 95 % des coraux de l'océan Indien sont morts par suite du réchauffement de l'eau de mer.
Le cycle des saisons a connu, lui aussi, une modification. Partout dans le monde, depuis les années 1960, le printemps arrive prématurément. Ce phénomène a des répercussions sur le comportement et le cycle de reproduction de nombreuses espèces de plantes et d'animaux.

youop !

Oui c limité en caractère !
Et oui je sais comment sauver la planète :p
J'ai pas eu le temps de poster les solutions..enfin vous pouvez déjà y réfléchir..je posterai les solutions ce soir !

Alors voilà, de manière à peser moins lourd pour la Terre, il faudrait orchestrer un suicide collectif.
Ou alors une flambée de violence.
Assassinez les connards

un peu radical comme méthode c du tri sélectif sa me rapelle un dirigeant qui lui ossi faisé un tri sélectif de la population,
ct hitler
c peut etre des connard mé c d'abord des etre humains et puis tt le monde est un peu connard ou connasse sa fé parti de la bétise humaine.
donc o lieu de dire nimportequoi et de partir sur des idées complètement farfelu pense déja a des truc réalisable genre les manifestation .

et pour le suicide collectif fo pas pousser a quoi serviré une planète ou il ny a personne réfléchi avant de parler d'idée révolutionnaire

c'était une boutade, désolé.
Alors les solutions pour avancer :

-s'adresser à un fournisseur d'éléctricité "propre", "verte"
-acquérir des piles solaires à fixer sur le toît, ou une chaudière à énergie solaire
-acheter des ampoules électriques efficaces et des appareils à haut rendement.
-Régler les thermostats avec soin, en évitant tout chauffage ou tout refroidissement superflus, surtout dans les parties inocuppées de la maison.
-Eteindre les lumières et les appareils électriques quand on ne les utilisent pas.
-Economisez l'eau chaude (la chauffer est très coûteux en énergie), préférer les douches, utiliser le lave-vaisselle et la machine à laver seulement quand ils sont pleins.
-Sécher les vêtements sur un fil plutôt qu'avec un sèche-linge.
-Marcher, rouler à vélo, emprunter les transports publics, recourir au covoiturage.
-S'il vous faut une voiture, en choisir une qui consomme le moins possible en attendant l'arrivée des voitures à piles à hydrogène.
-Faire ses courses sur place plutôt que dans des supermarchés installés à la sortie des villes.
-Chaque fois que c'est possible, acheter des produits biologiques d'origine régionale.
-ne pas acheter d'actions de sociétés productrices de combustibles fossiles, au profit de celles consacrées aux énergies renouvelables, ou bien exercer ses droits d'actionnaire pour pousser les compagnies à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
-Eviter les produits de la société ExxonMobil (=Esso en Europe), qui tente de bloquer les soluitions au problème des émissions de gaz
-Faire pression sur les élus pour les pousser à agir, et voter en rapport
-rejoindre ou même fonder un groupe de pression luttant pour un changement véritable
-faire savoir aux commerçants qu'on est intéressé par l'achat de produits biologiques.
-Eviter d'utiliser des bombes insecticides chimiques, des désherbants ou des anti-limaces ou anti-escargots. => utiliser des agents non-chimiques (citrons, clous de girofle, huiles de pin ou de cèdre. Recourir aux prédateurs naturels comme les coccinelles et aux plantes répulsives comme le basilic, la ciboulette, la menthe, les soucis et les chrisanthèmes, ainsi qu'au compost et au paillis. Pratiquer la plantation alternée des cultures ou répandre de la cendre ou des coquilles d'oeufs écrasées sur le sol pour dissuader escargots et limaces.
-Recycler ses déchets ménagers ou de bureau ; trouver son service de recyclage local ou au porte-à-porte et y participer.
-composter ses ordures ménagères et ses détritus de jardin.
Réutiliser, réparer ou remettre à neuf les produits au lieu de les jeter.
-Choisir des articles réutilisables plutôt que jetables (utiliser plus de trombones et moins d'agrafes ; des éponges et des torchons plutôt que des serviettes en papier ; des piles rechargeables plutôt que jetables)
-Acheter des produits durables, réparables, recyclables et recyclés.
-Eviter les produits au conditionnement superflu ou non recyclable (la plupart des plastiques). Acheter boissons et yaourth dans du verre ou du carton et non dans des récipients en plastique.
-Faire ses courses avec son propre cabas et refuser les sacs en plastique superflus.
-Ne pas acheter de produits en plastique faits de PVC.
Acheter de la peinture, des décapants, et des dégraissants non toxiques.
-Ne pas brûler de plastiques ou de matériaux dangereux (pour éviter l'émission de dioxine).
-Choisir des parquets plutôt que des sols en carrelage de vinyle ; s'assurer que les jouets pour bébés soient faits en caoutchouc naturel ; utiliser des vernis à ongle à base d'eau non toxiques.
-Réduire son utilisation de désodorisants (particulièrement ceux contenant des muscs artificiels) ou bien acheter des désodorisants, des cosmétiques, des produits de toilette et des détergents naturels.
-Utiliser aussi souvent que possible des peintures à base d'eau ou acheter des peintures dont l'étiquette indique qu'elles ne dégagent que de "basses" ou "minimes" émanations de composés volatils bchimiques.
-Eviter les produits antibactériens.
-Remplacer les bouteilles usagées ou les récipients à nourriture en plastique transparent.
Eviter, en présence de jeunes enfants, les travaux domestiques faisant appel aux produits chimiques.
Bien aérer son domicile afin de réduire l'accumulation chimique dans l'air.
-Faire pression sur ses élus politiques pour demander la fin de l'ère nucléaire.
-acquérir des toilettes consommant moins d'eau ou solution provisoire : placer une brique (ou un récipient en plastique rempli d'eau) dans la cuve de ses toilettes afin de diminuer sa contenance en eau. Ce qui permet d'économiser plus de 3000 litres d'eau par an.
-Acheter la machine à laver le linge ou le lave-vaisselle le plus économes en eau.
-Acheter des pommes de douche à débit efficace pour optimiser l'aspersion et minimiser la quantité d'eau.
-Réparer les robinets qui fuient. Une goutte par seconde peut faire perdre 9800 litres d'eau en une année.
-Acheter des aérateurs de robinets, éléments qui se vissent et combinent l'air et l'eau pour produire un mélange mousseux qui humidifie mieux et permet d'utiliser deux fois moins d'eau.
-Ne faire tourner sa machine à laver qu'à pleine charge.
-Si l'on possède une piscine, la couvrir. Cela empêche l'évaporation d'environ 3400 litres d'eau chaque mois.
-Investir dans un système de collecte et utiliser l'eau de pluie dans ses toilettes, pour laver ses vêtements et arroser ses plantes.
-Collecter l'eau usée réutilisable des éviers, baignoires et douches.
-Remplacer sa pelouse assoiffée par des herbes et des espèces d'arbustes locaux.
Former un comité local de surveillance de l'eau pour protéger son système de distribution local.
-Utiliser des liquides et des poudres à laver sans phosphates.
-Eviter d'employer des agents éclaircissants censés laver les vêtements "plus blanc que blanc"
-Utiliser du savon ou du shampooing écologique pour laver tapis et tissus d'ameublement.
-Eviter de faire nettoyer ses vêtements à sec car cela nécessite des solvants chlorés.
-Eviter l'eau de Javel (à base de chlore), les désinfectants chlorés, les antirouilles et les détersifs pour toilettes, ainsi que la papier traité au chlore. Choisir des alternatives écologiques.
-Ne jamais verser de peinture, de colle ou de pétrole dans les tuyauteries
-Utiliser des peintures à base d'eau, au lieu de peinture contenant des composés volatils.
-Utiliser du bicarbonate de soude dissous dans de l'eau bouillante et du vinaigre pour nettoyer ses tuyauteries, au lieu de produits toxiques et corrosifs comme l'hydroxyde de sodium ou de potassium, l'acide chlorhydrique et les distillats du pétrole.
-Acheter de l'or ancien plutôt que de l'or neuf, et recycler l'aluminium et le cuivre.
-Placer un filtre à eau sur le robinet de son évier afin d'éliminer certains pesticides et produits chimiques industriels, la majeure partie du chlore et certains métaux lourds.
-Demander aux pouvoirs publics de divulguer et de diminuer les produits chimiques douteux contenus dans l'eau.
-Ne pas acheter de produits de protection ou d'hygiène féminine commercialisés comme étant "jetables dans les toilettes".
-Ne pas jeter de serviettes hygiéniques, de préservatifs, de tampons, de couches ou de cotons-tiges dans les toilettes.
-Réparer toute fuite d'hydrocarbure sur les bateaux.
-S'impliquer dans les campagnes communautaires contre les eaux usées et les autres sources de pollution marine.
-Boycotter les opérateurs de croisière ayant été condamnés pour infraction aux lois sur la pollution.
-Faire pression sur les pouvoirs publics afin qu'ils agissent d'avantage pour protéger les océans de la pollution.
-Réduire sa consommation de viande (issue de la culture intensive des céréales servant de nourriture au bétail, et donc conduisant rapidement à l'épuisement des sols)
-Faire pression sur les représentants des agriculteurs et sur les responsables politiques locaux afin qu'ils agissent concrètement pour diminuer l'érosion des sols.
-Proscrire de ses achats personnels les meubles, planchers, portes, encadrements de fenêtre ou palissades faits de bois tropicaux comme l'acajou, le teck, le bois de rose, l'ébène, l'iroko, l'ipé, le greenheart, l'ekki, le ramin, le wenge, le cocobolo, le zebrawood, le padauk ou le contreplaqué tropical (parfois appelé lauan ou meranti)
-Si le besoin de bois est réel, acheter du bois produit localement ou, au moins, acheter des produits portant le label FSC.
Utiliser du bois de récupération pour la construction et acheter des meubles anciens ou d'occasions.
-Boycotter les négociants qui vendent du bois provenant de forêts primaires frontalières.
-Acheter ou ramasser du bois de chauffage provenant de sources de "bois gisant"
-Acheter des produits du commerce équitable.
-Recycler tout le carton et le papier mis au rebut.
-Réduire sa consommation de papier et de produits jetables comme les serviettes, les gobelets et les assiettes en papier.
-Employer du papier recyclé ou du papier sans bois comme celui qui est à base de chanvre.
-Imprimer les feuilles de papier des deux côtés et réutiliser les enveloppes.
-Réduire sa consommation de bois, d'hydrocarbures et de produits à base de boeuf.
-Ne pas acheter de cocaine : la plus grande partir est produite en déboisant l'amazonie !
-Préférer une banque qui n'investit pas l'argent de ses clients dans des entreprises qui détruisent les forêts.
-Si la situation le permet, procéder à des plantations d'arbres dans son environnement local et s'associer à la protection des forêts alentout.
-Faire pression sur le gouvernement pour qu'il fasse cesser le déboisement.
-Ecrire aux élus locaux et nationaux pour demander qu'ils promettent de garder votre région et votre pays libre d'OGM.
-Acheter de la nourriture non transgénique et écrire aux supermarchés pour les informer que vous n'achèterez pas de produits contenant des OGM, y compris du lait et de la viande issus d'animaux nourris aux OGM.
Pour éviter la bi-oinvasion ( l'invasion d'espèces étrangère au milieu naturel et donc nuisible pour la vie qui y habite) =
- Rechercher quelles espèces sont invasives pour son environnement local.
-S'informer sur les plantes avant de les acheter : essayer de planter des espèces indigènes dans son jardin et éviter les espèces invasives qui perturbent les habitats locaux.
-Déplanter toute plante invasive déjà présente dans son jardin.
-Eviter d'acheter des animaux de compagnie exotiques.
-Ne jamais relâcher dans la nature un animal en captivité, pas plus les oiseaux que les reptiles, les amphibiens, les poissons.
-Garder ses chats enfermés la nuit et accrocher une clochette sonore à leur collier. En Grande-Bretagne, les chats tuent chaque année 250 millions d'oiseaux et autres créatures.
>pour empêcher l'extinction de masse des espèces =
-Ne pas acheter de produits fabriqués avec des espèces menacées comme : les châles shahtoosh ; les manteaux en fourure de tigre, de léopard des neiges ou de phoque ; les chaussures, les ceintures et les sacs à main en peau de reptile. Ne pas acheter de médicaments contenant des ingrédients à base de tigre, de chevrotains porte-musc, d'ours, de léopard ou de rhinocéros ; de produits en écaille de tortue ; de viande de brousse ; de viande de baleine ; ni aucun produit contenant de l'ivoire.
-Ne pas acheter de produits ou d'animaux exotiques dont on ignore l'origine ou dont on suspecte qu'ils peuvent appartenir à des espèces menacéees ou vulnérables.
-Ne chasser aucune espèce menacée ou vulnérable.
-Eviter d'acheter des poissons appartenant à des espèces menacées ou vulnérables comme la morue, le haddock, la limande à queue jaune, le colin, la lotte, le flétan, le requin, l'espadon, le marlin de l'Atlantique, le maquereau, la raie et le hareng de la mer du Nord, le saumon ne venant pas de l'Alaska, le bar chilien, l'hoplostète rouge, le mérou, la limande, le merlu, le thon rouge, la sébaste aux yeux jaunes et le caviar beluga.
-Eviter les fruits de mer comme les crevettes, les coquilles saint-Jacques et les huîtres sauvages en provenance de réserves de pêche à taux de prise élevé.
-Essayer de découvrir où et comment ont été pêchés les poissons que l'on achète ou que l'on consomme. Eviter les poissons ayant été pêché à l'aide de matériel écologiquement dommageable. Les pêches à la ligne et sous-marines ont moins d'impact sur les habitats marins que les autres méthodes et sont moins susceptibles de tuer les jeunes poissons.
-Se renseigner sur la taille conforme des poissons que l'on consomme et éviter d'acheter ou de manger ceux de trop petite taille.
-Choisir des oeufs de poule portant la mention "élevées en plein air" car les autres indications sont trompeuses : "de ferme", "oeufs frais", "oeufs datés" cachent un univers industriel carcéral.
-Eviter le foie gras sous toutes ses formes. Il provient de canards et d'oies gavés de force.
-acheter les produits pharmaceutiques de groupes ne pratiquant pas les tests sur les animaux : liste disponible sur le site www.stopanimaltests.com/c-cconsdont1.html
Mener une vie moins dépendante des produits chimiques. Acheter des produits à base d'ingrédients naturels.
-Demander à son détaillant local d'acheter des produits qui n'ont pas entraîné de cruauté sur les animaux.
-Faire pression sur les politiques et les industries pour que les animaux ne soient pas génétiquement modifiés ou clonés. Refuser de manger des animaux génétiquement modifiés ou clonés.
-Faire entendre à ses élus politiques que l'on considère comme important tous les problèmes affectant les animaux et faire pression pour qu'une action politique rapide soit menée.

Cessez de vivre au jour le jour pour profiter de plaisirs que la Terre ne pourra peut-être plus vous offrir demain...

Citation :

Alors voilà, de manière à peser moins lourd pour la Terre, il faudrait orchestrer un suicide collectif.
Ou alors une flambée de violence.
Assassinez les connards

le suicide collectif personne sera d'accord, la plupart des gens on très peur de la mort alors que souvent ils n'ont jamais vraiment vécu et se sont enfermés dans un quotidien pour ne pas avoir à le faire.
Et puis je pense que le genre humain peut encore évoluer même si c'est mal parti se serait domage de tt supprimer.
(ca me rappelle l'armée des 12 singes)

Assassinez les connards, les salops qui savent qui ils sont et qui le revendiquent mais t'as un moyen de les reconnaître? c'est comme la déliquance peut-être dépistable à 3 ans par notre bon Sarko. si on avait dépisté sa connerie il serait pas là c'est bien domage! mais bon y'en a au moins un qu'on peut assassiner! lol

Bon , moi je trouve le sujet excellent mais bon jai pas lu les 250 lignes de solutions diverses et variés...

Quoi qui'il en soi je ne pense pas que ce soi en s'appuyant sur des "petits gestes" que la situation changera; elle ralentirai probablement mais tant que les ressources naturel permettant le profits de certains états ne sont pas épuisés (genre le pétrole...qui soi disant commencerai a manquer) , peu de gens se pencheront serieusement sur la situation.

Quand a trouver des solutions , sa fait un peu idéaliste comme idée mais je pense que les scientifiques (chercheurs en quasiment tout...) devraient s'unifier autour du problemes et trouver des solutions.

En 200 ans on as révolutionnés la sciencealors pourquoi ne pas découvrir une nouvel energie ou un truc comme sa ???

En fait là ou je trouve que l'homme est un peu "stupide" c'est dans le fait qu'il n'est pas effrayé par son auto-destruction (la pollution qu'il a crée et dont on ne connait pas la finalité) mais effrayé par un danger physique ; si une meteorite se dirigeait vers la terre , les gens se bousculeraient pour trouver une solutions....

Voilà maintenant c'est mon point de vue donc....

Le suicide collectifs je veux bien mais bon , on as deja la guerre pour sa...

la plupart des gens atende des résultat explique moi ce que tu compte faire avec seulement ton bac en poche.
occupe toi de ton avenir et laisse les gens dont le travail est de penser a sa sen occuper tu ne crois pas quil y é déja pensé a tt les solutions que tu a décrite si elle ne sont pas mise en oeuvre c parsquelle nété pas considéré comme valable par rapport a la population
c bien bo désséyé de jouer les sauveur de la planète avec de belles idées,encore faudré t'il en avoir les moyens
si tu ve perdre ton temps la dedans fait toi plaisir .
en tout cas je préfère vivre au jour le jour sans penser a ce qui arivera dans 1000ans.
c peut etre dégueulasse mais c ma façons de voir les choses

Mon avenir ? Mon avenir ?? Je devrais m'occuper de mon avenir ... <___> Mon avenir c'est de sauver la planète, sinon je me pend. Enfin c'est une façon de parler, je compte PARTICIPER à sauver la planète. Tout le monde pense que ce n'est pas en faisant les petits gestes que j'ai cité plus haut que l'on améliorera le sort de la planète. Ils se trompent. Tout d'abord parce que la consommation individuel occupe une grande part de la consommation mondial, nous autres, par opposition aux industriels, pesons énormément sur l'écosystème terrestres. Ensuite parce que changer ses habitudes de vie, c'est changer les mentalités. Ca aide à ne plus considérer la planète comme une poubelle, premièrement. Ensuite, si, nous, consommateur, ne voulons plus de produits coûteux pour l'environnement (c'est-à-dire dont l'usage est nocif pour l'environnement, ou dont la production aura causé des torts à l'environnement), les industriels seront bien obligés de s'adapter pour s'accorder aux attentes des consommateurs, et donc ne produire plus que des produits qui autorisent un avenir pour la Terre.
Ca n'a pas de sens, comme critique, de dire que je n'ai pas la qualification requise. Je serais un vieillard de 70 ans, qui a seulement le bac et est incapable d'accomplir d'autres études, d'accord, ta critique serait justifié, et encore, même ce type pourrait faire quelquechose. Mais moi, je viens de remporter mon bac, et le temps que j'ai devant moi, j'ai l'intention de l'occuper en partie à défendre l'environnement. Actuellement, je tente de le faire en alarmant mon entourage pour que eux aussi agisse (et que ça forme, idéalement, une masse capable de toucher les poiticiens et les industriels). Ensuite, je compte accumuler l'expérience nécessaire pour me permettre d'agir à plus grande échelle, par mes études. N'ayant pas un esprit efficace dans le domaine des sciences, j'ai choisi la voie économique ( section ES au lycée et je rentre en prépa éco), entre autre dans l'idée que comprendre le système économique est un soutien nécessaire pour le changer et permettre l'avènement d'un développement durable.

Citation :

si tu ve perdre ton temps la dedans fait toi plaisir

N'est ce pas une belle énormité ça ? Comment juges-tu de ce qui est utile et bénéfique à accomplir dans la marche du temps et de ce qui ne l'est pas et constitue donc une perte de temps ? Comment peux-tu décider pour les autres d'attribuer une valeur négative ("perdre son temps") à ce qu'ils choisiront de faire de leur temps. Car peut-être que de ton point de vue, s'efforcer d'empêcher l'homme de détruire la vie (et la sienne propre) est une perte de temps, mais moi, mon esprit est construit de telle manière que donner mon temps pour ça sera pour moi la meilleure manière de vivre mon existence. En fait le seul chemin pour être heureux. Je suis taillé comme ça. C'est à dire qu'il est vital pour moi que je sois au chevet de la planète, de prendre son poul, de suivre son évolution au cours de ma vie et de faire mon possible pour qu'elle reste un oasis pour la vie dans le système solaire, qu'elle reste une perle exceptionelle pour la galaxie, peut-être pour l'univers. (même si c'est un combat perdu d'avance) Vous voyez, même d'un point de vue égocentrique, je me réjouirai d'oeuvrer pour la sauvegarde de la vie.
C'est vrai, j'ai utilisé des grands mots ("sauver la planète"), mais j'en ait fait exprès. D'abord, parce que ça fait partie de mon trip, avoir une tâche de héro qui m'est, rien que d'y penser, jouissive à seulement tenter de réaliser. Ensuite parce que c'est vrai que la tâche est énorme, les risques imminents.

Citation :

en tout cas je préfère vivre au jour le jour sans penser a ce qui arivera dans 1000ans.
c peut etre dégueulasse mais c ma façons de voir les choses

Tu es de ce point de vue là assez semblable à une majorité d'humains qui sont centré sur la vie qui les entoure et n'attachent aucun intérêt à la pérennité de la vie dans l'univers. (je parle d'univers parce que mon rêve fou ce serait de répandre, voire de généraliser la vie sur les autres planètes) Cest une vision des choses humaine, donc je la respecte, j'aime les humains. Je te demande juste de ne pas me mettre d'obstacles sur la route de ceux qui combattent les forces qui rongent la vie.
Tout de même, pour le bon déroulement de ton existence, je te conseilles de regarder un peu plus loin que le lendemain. Il serait douloureux que tu constates un jour que tu n'as plus qu'une journée avant que ta demeure ne se fasse engloutir par la montée des eaux. (simple exemple, on pourrait les multiplier, d'autant plus que tu n'habites et n'habiteras peut-être pas au bord de l'eau, donc dans ce cas tu n'es pas concerné)

je préfère tout dire dans un seul poste..laisser le moins de choses ambigu possible...plutôt que de s'éterniser sur un long dialogue (de sourd souvent)

g lu ton dernier post, c'est marrant, faut que tu continues comme ça, mais met des mots clés en rouges, pour qu'on lise ce que tu veu qui nous frappes vraiment et ça sert a rien de répondre argument pa argument à ce que les gens te réponde, faut toujours trouver de nouvelles idées à chaque post, quitte à faire plus de post moins long, pour qu'on voit mieux qu'il y a toujours plus de raisons d'être écolo et ça serait plus motivant pour ceux qui ont la flemme de lire beaucoup d'un coup, parceque lire devant un ordi ça fait bien mal aux yeux quand même....
Bon courage notre sauveur

DEUKS !!
les gens dont le travail est de penser à ça comme tu dis ne peuvent rien non plus sans des moyens et ne font en conséquence rien !!

Plus on sera à le soutenir plus on arrivera a quelque chose. évidemment si on lui dis que ça sert à rien ce qu'il fait, c'est désepéré... arf les gens comme toi

Fabi voit grand et il a raison, on n'arrive à quelque chose que de cette manière. A quoi sa sert de vivre si c'est pour ne pas réaliser nos rêves, tout ça parce qu'ils paraissent irréalisable (pour certains!). Il ne choisi pas une vie innintéressante fais de petites choses égoïstes. Les moyens il ne les a certe pas pour le moment, mais on peut franchement pas lui reprocher d'essayé d'agir. Les moyens on les obtiens avec une motivation à toutes épreuves, en insistant.. meme si on voit ses offensives repoussées.. en persévérant !! ET ON DOIT TOUS FAIRE CA SI ON VEUT CHANGER CETTE SOCIETE DE M**** ! ne pas laissez faire les choses pour avancer.

je c que c dégueulasse mais bon pour penser a l'avenir il faudré déja etre en ordre avec son présent et moi je suis loin de l'etre .
si déja jarrivé a me construire un avenir sur pour les 50 prochaine années ,je pourré peut etre penser ensuite a lavenir des prochaines générations.
Fab je trouve sa tt a ton honneur que tu veuille faire des étude la dessus, dsl si g choqué mais la vie elle mm est en soit choquante