Blablatorium

Même si on arrivait à allonger le bras suffisamment pour écarter les nuages, traverser le ciel et toucher Mars et la Lune...
Même ainsi on ne parviendrait pas à toucher la vérité.

pk c'est les gens qu'on aime pas qui demandent si on les aimes?

pk c'est les filles mo.. heu.. au physique pas facile qui nous demandent si elle sont belles?

Quel est cet esprit pervers qui s'amuse à nous mettre dans des situations embarrassante ou on est obligé de mentir pour ne pas blesser?

et surtout pourquoi les tartines tombent toujours du coté beurré ?

Mort = Inconnu ---> Donc qui effraie ; logique me direz vous.
Mais pourquoi donc sommes nous effrayez a ce point par la mort ?
Nous n'avons aucun souvenir de notre "synthese" ni de notre naissance; a l'origine on est juste un gros tas de cellules ^^. Et c'est marrant parsque ; en général tout ce que l'on ne connait pas nous effraie , mais je ne sais pas si on peu affirmer connaitre le sens de la vie... mais sa ne nous effraie pas...
Ce qui est stupide puisk theorikemnt on passe plus de temps a cherché et a utilisé le "sens de la vie" que celui de la mort.



Quoiqu'il en soit.... "Chaque pas dans la vie est un pas vers la mort !"

Nunurs le Sex simbol !> Ce dont on a peur, c'est peut être pas l'inconnu de "l'expérience" (le mot est mal choisi) qu'est la mort, mais tout simplement la mort en elle même. Je m'exprime mal, mais je veux dire par là que ce qui nous effrait, c'est peut être juste de se dire qu'un jour, on n'existera plus, en un instant on n'aura plus aucun rôle à jouer dans la vie de nos proches, ou à plus grande échelle, dans le monde.
La peur de mourir, c'est un peu la peur de perdre la vie, de ne plus pouvoir profiter de ce qu'elle nous offre, pas forcément la peur de la mort à proprement parler.
Enfin après, c'est qu'un point de vue personnel, si j'ai peur de la mort c'est juste parce que je tiens beaucoup trop à la vie pour me dire calmement que plus j'avance, plus je me rapproche de 'la fin'. C'est un peu effrayant de se dire qu'un jour tout va s'arrêter, et surtout, se dire qu'on ne contrôle pas, qu'on ne décide pas de la fin, de quand et comment. La mort ça nous rappelle qu'au fond, notre vie on a beau pouvoir la modeler plus ou moins comme on veut, on la commande pas completement.
Et j'm'exprime tellement mal que t'as sans doute pas du tout saisi la nuance, désolée.

Et ben malgré ton expression que tu crois mauvaise , je te repond que j'ai très bien compris ton point de vue (en tout cas je crois).

Mais c'est marrant je ne suis pas inquiet du moment ou cela va se produire comme tu disais ; "on ne controle pas" , mais plus inquiet par "la suite" j'ai le sentiment qu'en 1 an j'aurai disparut des esprits. Et sa peu paraitre stupide pour certain mais moi je trouve que l'idée de laisser une trace (en dehors de son slip si possible.... ) ces super important; voila.

Quelqu'un connait la fin de "Connait toi , toi meme et........" ?

c'est macabre tout ça!! faut juste profiter de la vie, pas penser au reste
on nait pour la vie, on meurt pour toujours

hem mon avis sur le sujet:

ne succombons pas à la tentation du diable !! surtout ne prenons pas de plaisir ! nous devons souffrir c'est notre raison de vivre !

faisont tous des attentats suicides contre le mal américains, et nous irons tous aux paradis !!

Allaaaaaaaaah okbaaaaaaaaaaaaa





erf pardonnez moi je trouvais que le sujet devenai dangeureusement sérieux. on atteignait le taux critique de serieux, on est passé pas loin de la catastrophe, un mot sérieux de plus et ça nous petait à la tronche !!




heu... jvais mcoucher

rhoo ambrinou je vois vraiment pas comment tu peux penser que tu vas t'ennuyer en psycho... ça doit être très enrichissant et surtout fort passionants !! je suis sur que la psycho te réserve plein de moments riches en émotions qui te tiendront éveillées et très attentives tellement l'interet envers ce domaine que susciteront tes cours sera fort...

.....*éclat de rire contenu*


à part ça heu...
on est les champioooons on est les champioooons, on est on est on est les champiooons, et 1 et 2 et 3 zéro, la lala la la lala lalalala lala la la lalalalalala la la lalalalalalalal hey hey la...

à moi !! mes hommes !! les allemands nous envahissent !!


c'est pas vrai chui pas névrosé !!! ! ! ! ! !! ! ! ! ! ! !! ! ! ! =D

*met un slip sur la tête et court dans tout les sens*

JE - NE - SUIS - PAS - FOU !!!!!

MUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAHAHAHAHAHAHAH !!!

Mais si tu es cinglé ! c de la folie joyeuse qui va révolutionner le monde !

Une histoire comme celle-ci (celle qui va suivre) mérite d'être contée. Elle est de celle dont le souvenir vous tire du sommeil, la nuit, le corps ruisselant de sueurs, le coeur cognant dans votre poitrine à mesure que de terribles images refont surface à votre esprit.

La bête, je la connaissais. Elle était déjà venue me rendre visite. Et ce soir-là, quand j'ai senti sa présence, j'ai décidé d'en finir. Sa présence. On la sentait dans toute la pièce. Pas un souffle brûlant, comme le serait celui d'un chien monstrueux. Pas un jeu d'ombre et de lumière, que s'amuserait à créer un esprit malfaisant. Mais un vombrissement, insistant, menaçant. Qui vous glace le sang. Qui s'empare de tout objet et lui retire toute gaieté, toute familliarité, toute humanité, toute chaleur. Je pensais aux créatures démoniaques sortis des flammes de l'enfer qui, dit-on, étouffent les passions des hommes, étranglent leur joie de vivre. Tout près de moi, il y avait une chose dont l'existence constituait une monstrueuse abberation. Pour faire face à cette abomination toute droit surgie des peurs les plus anciennes de l'humanité, je me précipitais sur le coffre renfermant le nécessaire pour répondre à ce type de menace. Je l'ouvris et choisis un mouchoir blanc Kleenex®. Quand je saisis entre mes doigts l'arme qui devait mettre fin à l'horreur, le vombrissement se tut. Saisi d'effroi, je m'imaginais la chose tapie dans un coin, guettant ma respiration, prête à fondre sur moi pour me déchiqueter. Je jettais un regard plein d'appréhension sur les murs m'environnant. C'est alors que je la vis. J' étouffais un cri de terreur devant un tel déploiement de formes cauchemardesque réunies dans un seul être. Il y avait quelque chose en lui qui dépassait la notion même d'horreur. Ou une horreur amenée à un stade suprème que seul aurait pu imaginer une entité Olympienne. Mes yeux ayant supporté la vue de cette chose, se souviennent d'un coprs fin, à demi masqué par de longues ailes membraneuses, de pattes aux griffes acérées, d'une tête triangulaire aux yeux reflétant mille fois mon regard apeuré. La répulsion ne collait pas tout à fait au physique de cette créature qui convenait presque aux canons de la beauté. Mais la répulsion était bien là. Et une peur qui contractait l'ensemble de mon appareil digestif. Mais j'étais aussi animé du furieux désir de purger la pièce de ses entités malfaisantes. Dans un hurlement visant à me donner du courage (mais contenu, pour ne pas réveiller mes parents qui dormaient à côté et que je ne voulais pas mêler à cette affaire), je chargeai la bête, le mouchoir devant moi tel un éperon. Au moment où j'espérais pouvoir apercevoir la teneur de son dernier repas à travers son abdomen transparent, ma cible s'envola, dans son vombrissement angoissant. S'ensuivit une chasse haletante. Choisissant l'attaque silencieuse, la bête me détectait néanmoins, et s'envolait à chaque fois du perchoir sur lequel elle avait atterit, mon arme manquant sa cible et se refermant sur le vide lamentablement. La bête et son éternel vombrissement, semblant vociférer des insultes piquantes à mon égard, s'échappait toujours. C'est alors que je compris que ma lutte était sans espoir. D'autre part, le sommeil commençait à m'engourdir. J'éteignis la lumière et m'étendis sur mes draps. Je maudissais ma faiblesse mais ressentais une sorte d'exultation à penser à la victoire de la bête sur l'homme. C'était presque rassurant. La force, la puissance, c'était elle, et pas moi. A elle d'assumer cette force. Je ressentais également la jouissance de m'abandonner à un prédateur, de la défaite, du repos.
J'entends le famillier vombrissement qui s'amplifie. La bête arrive et c'est moi qui l'attire. Elle est tout prêt de mon visage. Mes oreilles vibrent de son passage au-dessus de ma tête. Et là je ne sais pas, peut-être est-ce un geste de survie qui était profondément enfoui en moi, adopté à la base pour me défendre des fauves des hautes herbes dans la savane : Je me relevais d'un bond et fouettais l'air à l'endroit où je pensais que la bête s'y trouvait. Ma main s'applatit contre le mur d'en face. Je la soulevais, espérant découvrir en-dessous une trace sanguinolente. Nada. Mais un tout nouveau flux d'énergie me parcourait. Je repérais l'immonde créature et la course-poursuite reprit. Mais 5 minutes plus tard, haletant, je m'effondrais à nouveau sur mon lit. Mais résolu à ne pas me faire dévorer pendant la nuit, je remontais les draps au-dessus de ma tête. Les minutes passèrent, où plus que le sommeil, c'était l'angoisse qui montait en moi. Et soudain, je sentis l'ombre de la chose planer au-dessus de moi. Et l'ombre menaçant de m'engloutir. Puis la mélodie de son vol tinta à mes oreilles. C'était une musique d'un être enragé. Et qui avait faim.
Me sentant comme dans une cage aux futiles barreaux parmis des requins tournoyant, j'attendis.

ppfffff c pas possible d'avoir un résumé?

(désolé de pourrir le forum)